« Tout part du centre… » 3ème 2020-2021

Un masque pourquoi ?? Ce n’est pas le sujet ?? Mais avez-vous vraiment bien regardé , analysé. Qu’avez-vous trouvé ? Et ce petit papier caché au dos ? « Tout part du centre… » j’ai voulu utiliser un masque africain, plus précisément celui du Sinto, d’origine Malienne, dans lequel se cache une reproduction d’un tableau de Picasso. « Tout part du centre… » La masque du Sinto EST le centre. J’ai voulu au travers de mon travail montrer l’influence de l’Art Africain en général sur les peintres occidentaux. J’en ai eu l’idée grâce à une exposition vue au Musée du Quai Branly… Carmen
« Tout part du centre… » Tout part des sujets du quotidien qui m’inspirent : sentiments, émotions…Dans cette bouteille de verre est représentée une femme, on dirait qu’elle tient les parois… Cette femme baigne dans ses émotions, elle est coincée, la bouteille représente un enfermement sur elle. Même si elle est dans sa bulle de verre. Comme dans un sablier, les émotions telles des grains de sable remontent à la surface. La paroi de verre symbolise la dureté du monde dans lequel le personnage est enfermé. Le personnage féminin flotte au centre de la bouteille, ce qui ramène à l’idée de départ : « Tout part du centre… ». Certaines des émotions sont écrites sur du papier coloré en bleu, parce que c’est ma couleur primaire favorite, et encore « Tout part du centre… » puisque de couleurs primaires se créent plusieurs autres couleurs… Maia C.P
J’ai représenté le Big Bang. Je me suis inspiré du Suprématisme russe dont l’artiste Kasimir Malevitch était le créateur. Ma production est abstraite, figurative. J’ai placé mes éléments selon mon « instinct ». Pour les Suprématistes, l’espace dépasse la représentation en trois dimensions et s’inspire des théories géométriques de la quatrième dimension. Cette forme d’espace est conçue de plusieurs couches de dimensions au travers desquelles les formes évoluent. « Tout part du centre… » sont les deux billes métalliques qui représentent la collision du Big Bang… Darius
Ce projet qui est lui- même le centre est réalisé en ronde-bosse ce qui permet au spectateur de lui tourner autour. L’objet principal est l’oeil, il est partout pour moi, c’est un symbole important, c’est la première chose que je regarde chez quelqu’un… Ne dit-on pas d’ailleurs que « Les yeux sont les fenêtres de l’âme » ? Laura
« Tout part… » d’une mèche de cheveux, mes cheveux que j’ai coupés moi-même. Il y a quelques années ma belle grand-mère d’origine coréenne m’expliqua qu’en Corée après avoir coupé les premiers cheveux du nouveau-né, on créait un pinceau qu’on offrait à l’enfant. Ce serait son pinceau pour la vie. Je suis donc parti de l’idée du pinceau qui pour moi est synonyme de peinture et de peintre. Il fallait donc que je représente une main qui est en train de peindre… Le miroir représenté permet d’apercevoir son propre visage comme si on était le peintre de ce tableau pour pouvoir s’identifier à lui. Le papier journal du fond représente l’ambiance de l’atelier, les coups de pinceau rapides montrent le travail acharné du peintre… Zaki
Je me suis demandé d’où partait tout ce que l’on créait… « Tout part…  » de notre cerveau. Les traits jaunes représentent la lumière, les idées, le cerveau représente le centre de notre imagination. Garance
C’est à un camarade que j’ai demandé de réaliser la photographie. Je voulais une vue en plongée et un plan d’ensemble de la classe. Je suis représenté au centre avec la projection au tableau d’une photographie similaire, prise quelques minutes avant, et en demandant à tous mes camarades de tenir leur téléphone, face au photographe ; l’image qu’ils lui montrent me représente…J’ai créé un effet de mise en abîme pour donner l’impression d’être partout dans un espace restreint : celui de la classe. « Le centre de l’attention » est le titre de mon travail… Je voulais aussi montrer notre cohésion de classe et l’investissement total de mes camarades… Abel
« L’élément déclencheur » de mon travail est la poupée autour du corps de laquelle s’articulent le collage et l’assemblage représentant des sortes de corolles rappelant à la fois une robe et une fleur…La poupée est également vêtue d’une robe courte et serrée faite à partir d’un masque chirurgical bleu et son élastique. L’autre élastique du masque retient les pieds de la poupée accrochés ensemble et porte une étiquette de « réduction », ainsi qu’un slogan : « Tout ce qui compte pour vous… » Elle a également une image d’ oeil accrochée au niveau de la poitrine. Le but de mon travail était, en partant d »une poupée « Barbie » et de morceaux de magazine de beauté,
d’ illustrer (dénoncer ?) les normes de beauté et de société ainsi que la consommation dont ils sont le symbole. La poupée a beau être mince, souriante, blonde, élancée et bien maquillée pour correspondre parfaitement au « beau » et à ce que l’on attend d’elle , elle est prisonnière de son propre monde comme elle est retenue par les corolles de magazine, qui si ils évoquent des fleurs ne sont que des barrières. Le masque entourant son corps est également un symbole d’une société qui s’aseptise, s’isole, devient lisse et se réfugie derrière la beauté et la consommation pour exister. Consommation ici matérialisée par les étiquettes accrochées aux chevilles de la Barbie. Elle est attachée à sa beauté, sa réussite : « Tout ce qui compte pour vous… » C’est cette volonté de dénoncer la beauté (obligatoire ?) la consommation qui est à l’origine de ce travail « Tout part du centre… » Enfin, l’image de l’ oeil sur la poitrine est ici pour illustrer le regard de la société moderne sur l’individu, particulièrement la femme, ce besoin d’être à la fois conforme et unique, validé de tous. Mais malgré tous ces artifices le sourire et le regard de Barbie resteront toujours vides ! Faustine
Comme « centre » j’ai utilisé une simple bouteille d’eau en plastique. J’ai essayé de trouver ce qu’elle pouvait m’inspirer et j’ai pensé à une tête de calamar… J’ai dessiné des tentacules et je leur ai représenté des cicatrices car j’ai pensé à l’écologie, puisque le plastique pollue et donc « blesse »/pollue les océans. Finalement j’ai adopté le style marin, j’ai représenté des bulles et au second plan une tortue et un poisson, et un coquillage sous la bouteille pour signifier qu’elle n’est pas posée sur un sol mais en train de flotter dans l’eau… Léo
…Faire ressortir le soleil… L’intitulé du projet « Tout part du centre… » nous a tout de suite fait penser au système solaire. Le Soleil est l’unique source primaire de lumière. Sans lui, il n’y aurait donc aucun signe de vie sur Terre. C’est en partie grâce au Soleil que la Terre est habitable et que nous, en tant qu’êtres vivants existons. Dans notre projet, le Soleil est le centre et tout part de celui-ci…. Les planètes se sont formées par la suite et tournent en orbite autour du Soleil. Voilà pourquoi tout part du Soleil dans le sens où notre vie part du Soleil… Juliette, Thaïri, Soléa
J’ai décidé de réaliser un volume qui représente une maquette de corps, un « modèle » unisexe car ce n’est pas le sujet principal du projet. J’ai fait « partir » le mot « centre » du nombril du personnage de la maquette, centre du corps en référence à l’expression « tu n’es pas le nombril du monde ». J’ai pris le sujet au pied de la lettre en mettant au centre le mot centre, et en faisant partir de ce centre des « lianes » de textes contenant le même mot  » centre ». Cela peut aussi représenter tout l’égocentrisme qu’une personne peut contenir, quand celle-ci a un gros égo. C’est également une métaphore. Le mannequin unisexe représente le monde, le genre humain d’aujourd’hui, il pourrait aussi représenter le futur ressemblant étrangement à un robot. Maud
Le titre de notre réalisation est : « Le fil de la pensée »… Nous avons commencé par dessiner un visage de femme de profil. Elle a la bouche entr’ouverte et le regard fixe qui laisse paraître qu’elle est perdue dans ses pensées. Les traits de fil de laine bleue représentant les cheveux est une métaphore des fils entremêlés de la pensée. Au niveau de la tête la pensée est fixe et en dehors elle n’est plus contrôlée. Les fils de laine sont volontairement maintenus avec de l’adhésif pour préciser cette instabilité… Le fil bleu marque le contraste entre la pensée et le visage qu’on a choisi de placer au second plan. On a également choisi cette couleur bleue car elle est le symbole de l’évasion, elle est aussi une couleur porte-bonheur liée à l’immortalité telle notre représentation de la pensée infinie… « Tout part du centre… », le centre EST notre esprit : nous. « Tout part du centre et laisse le fil de la pensée, le fil de la vie… Aure Maia B
Cette représentation de tortue dont la partie centrale forme comme une fleur qui s’ouvre…Cette fleur qui s’épanouit est le centre, le point de départ de mon travail…. En pensant à cette tortue, avant de la réaliser pendant que mes idées évoluaient quant aux éléments qui composeraient mon travail, je ne pensais pas immédiatement à une signification allégorique, mais plutôt à l’idée d’un point qui s’ouvre dans un motif géométrique comme le losange que forment les différentes parties de la carapace… Valentine RdlB
J’ai réalisé cette production car en ce moment le masque est au centre de nos vies …et de nos visages ! Nina
Pour le sujet : « Tout part du centre… » j’ai décidé de représenter une cage thoracique avec un coeur à l’intérieur…J’ai décidé de réaliser ceci, car d’une question philosophique, tout par du coeur puisque je pense que toutes nos émotions viennent du coeur et nous permettent de faire des choix au quotidien. Le coeur gagne toujours face au cerveau… Andrea
J’ai axé mon travail sur le thème de la publicité, au centre j’ai représenté le symbole de la publicité : une silhouette qui parle. Et tout autour des logos divers sont représentés…Toutes ces marques font partie de notre vie, de notre quotidien… Aya
« Mais finalement le centre d’un livre n’est que le début de l’aventure qu’on y vit » Au début je n’étais pas très inspirée… Et puis en réfléchissant, s’est imposée dans mon esprit cette photo de moi bébé « lisant »…le début d’un de mes principaux « centre d’interêt ». Clémence L
Zakaria
Au fur et à mesure, de pliage en pliage, l’oeuvre en progression…Bill
Les fleurs, les pétales, les présentés, les représentés… « Tout part de cette idée… » Emilie
Le centre c’est le livre, la culture, le travail… Flavia
Théodore
Au début de l’histoire… l’épée… Sheza
Dans le tourbillon de la création… Alice
Ariane

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